Le ciel bleu survolant San Francisco était caché par des nuages gris depuis le début de la journée. L’astre solaire jouait à cache-cache avec ces nuages poussés par le vent frais, illuminant peu la ville de son éclat. Les rues étaient remplie d’homme et de femmes d’affaires, ainsi que de jeunes lycéens, ou collégiens, se dépêchant d’atteindre les restaurant avant que ceux-ci ne soient prit d’assaut. La cloche d’un église venait de sonner les douze coups de midi, annonçant la libération des fauves dans l’arène qu’était le centre ville. Cassandra était sortit de cours en vitesse, n’empruntant pas le chemin du self, mais celui de sa chambre d’internat. Elle avait finit sa journée de travail, grâce à l’absence d’un de ses professeurs, et avait organiser la fin de son après-midi. Depuis plusieurs jours, la jeune femme n’était pas au plus haut niveau de sa forme, se fatiguant très vite, et changeant d’humeur en très peu de temps. Ce qu’elle ressentait n’était pas l’œuvre d’une maladie, mais elle soupçonnait plutôt la magie d’en être à l’origine. Des sensations de bonheur l’assaillait sans raison valable, et était parfois remplacé par une peur dont elle ignorait l’origine. Ses changements d’humeurs l’avaient considérablement alarmée, et la lycéenne avait décidé de s’offrir un moment de détente.
Habillée d’un pantalon beige, et d’un tee-shirt marron, Cassandra s’enveloppa d’une longue veste noir, descendant jusqu’à ses genoux. Après avoir posé son sac de cours sur son lit, où depuis quelques temps traînait des vêtements, et des affaires qu’elle ne prenait pas le temps de ranger, elle s’arma de sa guitare couverte d’une housse foncée, avant de quitter sa chambre. Ses pas l’amenèrent hors de l’établissement scolaire, et se dirigèrent vers une destination bien choisir. Retirant de sa poche son portable, la jeune femme prit le soin de le mettre sur le mode vibreur pour ne pas être dérangée par ses amies. Elle désirait passé cet après midi seule avec elle même, et personne ne pourrait l’en empêcher, à moins d’en subir les conséquences. Faire du mal n’était plus hors de sa portée, Cassandra prenait même plaisir à voir souffrir les personnes qu’elle détestait. Son changement était radical, une nouvelle femme avait prit sa place.
Ses cheveux bruns jouaient avec le vent, dégageant son visage et dévoilant ses yeux noisettes soulignés d’un large trait noir. L’air frais sur sa peau apaisa ses plus vives pensées, et défronça les sourcils de la lycéenne. Une demie-heure plus tard, après avoir éviter les rues de San Francisco les plus remplie par des piétons pressés de manger et de retourner à leurs affaires, Cassandra arriva devant une forêt sombre. Les arbres serrés ne laissaient pas la lumières entrer et éclairer le sol où jonchaient des feuilles mortes. Le vent animait les feuilles d’une étrange vie, et chantait dans le silence une douce mélodie. Cette foret la jeune femme l’avait repéré lors d’une promenade avec ses amies, autour de la ville, et le mystère qui semblait y régné l’avait attiré.
Ses talons quittèrent le béton pour se poser sur les feuilles tapissant le sol, étouffant ainsi le bruit provoqués par ceux-ci. Cassandra fut plongé dans une sorte de clair-obscur lorsqu’elle eut franchit les premiers arbres. Le silence se faisait pesant, et seul sa respiration ne parvenait à ses oreilles. Cet endroit, bien qu’étrange, plaisait à la lycéenne, son mystère, son mélange de clarté et de noirceur reflétait l’état dans lequel se trouvait son esprit. Après avoir marché pendant quelques minutes, elle s’assit sur le tronc d’un arbre mort, et posa sa guitare, dont elle ôta la housse, sur ses genoux. L’atmosphère qui régnait dans cette forêt reposa Cassandra, repoussant son stresse, ses questions et ses doutes. Ses doigts se posèrent sur les cordes tendues de l’instrument. Cela faisait plusieurs mois qu’elle n’avait pas rejoué de la guitare, et cette sensation retrouvée fit remonté de nombreux souvenirs à la surface de son esprit. Pourquoi avait-elle laissé la magie, la colère et la haine prendre la place de sa vraie passion, de sa vraie envie ? Que voulait-elle vraiment ?
Ses paupières se fermèrent dans un mouvement de légèreté, et une douce mélodie commença à briser le lourd silence, apportant un peu de joie à cet endroit presque lugubre. A peine la jeune femme eut-elle commencé à se détendre, qu’un phénomène étrange la dérangea. Une peur l’envahit. Cependant ce n’était pas sa peur à elle, mais celle de quelqu’un d’autre, comme si elle était capable de ressentir ce sentiment effrayant d’autres personnes. Etrangement, cette sensation ne déplu pas à Cassandra, elle y prit un certains plaisir. Aussi rapidement que cette sensation arriva, elle disparue, et la sorcière ouvrit les yeux d’un geste brusque, espérant en trouver la cause. Personne ne se trouvait devant elle, ni derrière, elle était seule dans cette forêt. Alors qu’avait-elle vraiment ressentie ?
Habillée d’un pantalon beige, et d’un tee-shirt marron, Cassandra s’enveloppa d’une longue veste noir, descendant jusqu’à ses genoux. Après avoir posé son sac de cours sur son lit, où depuis quelques temps traînait des vêtements, et des affaires qu’elle ne prenait pas le temps de ranger, elle s’arma de sa guitare couverte d’une housse foncée, avant de quitter sa chambre. Ses pas l’amenèrent hors de l’établissement scolaire, et se dirigèrent vers une destination bien choisir. Retirant de sa poche son portable, la jeune femme prit le soin de le mettre sur le mode vibreur pour ne pas être dérangée par ses amies. Elle désirait passé cet après midi seule avec elle même, et personne ne pourrait l’en empêcher, à moins d’en subir les conséquences. Faire du mal n’était plus hors de sa portée, Cassandra prenait même plaisir à voir souffrir les personnes qu’elle détestait. Son changement était radical, une nouvelle femme avait prit sa place.
Ses cheveux bruns jouaient avec le vent, dégageant son visage et dévoilant ses yeux noisettes soulignés d’un large trait noir. L’air frais sur sa peau apaisa ses plus vives pensées, et défronça les sourcils de la lycéenne. Une demie-heure plus tard, après avoir éviter les rues de San Francisco les plus remplie par des piétons pressés de manger et de retourner à leurs affaires, Cassandra arriva devant une forêt sombre. Les arbres serrés ne laissaient pas la lumières entrer et éclairer le sol où jonchaient des feuilles mortes. Le vent animait les feuilles d’une étrange vie, et chantait dans le silence une douce mélodie. Cette foret la jeune femme l’avait repéré lors d’une promenade avec ses amies, autour de la ville, et le mystère qui semblait y régné l’avait attiré.
Ses talons quittèrent le béton pour se poser sur les feuilles tapissant le sol, étouffant ainsi le bruit provoqués par ceux-ci. Cassandra fut plongé dans une sorte de clair-obscur lorsqu’elle eut franchit les premiers arbres. Le silence se faisait pesant, et seul sa respiration ne parvenait à ses oreilles. Cet endroit, bien qu’étrange, plaisait à la lycéenne, son mystère, son mélange de clarté et de noirceur reflétait l’état dans lequel se trouvait son esprit. Après avoir marché pendant quelques minutes, elle s’assit sur le tronc d’un arbre mort, et posa sa guitare, dont elle ôta la housse, sur ses genoux. L’atmosphère qui régnait dans cette forêt reposa Cassandra, repoussant son stresse, ses questions et ses doutes. Ses doigts se posèrent sur les cordes tendues de l’instrument. Cela faisait plusieurs mois qu’elle n’avait pas rejoué de la guitare, et cette sensation retrouvée fit remonté de nombreux souvenirs à la surface de son esprit. Pourquoi avait-elle laissé la magie, la colère et la haine prendre la place de sa vraie passion, de sa vraie envie ? Que voulait-elle vraiment ?
Ses paupières se fermèrent dans un mouvement de légèreté, et une douce mélodie commença à briser le lourd silence, apportant un peu de joie à cet endroit presque lugubre. A peine la jeune femme eut-elle commencé à se détendre, qu’un phénomène étrange la dérangea. Une peur l’envahit. Cependant ce n’était pas sa peur à elle, mais celle de quelqu’un d’autre, comme si elle était capable de ressentir ce sentiment effrayant d’autres personnes. Etrangement, cette sensation ne déplu pas à Cassandra, elle y prit un certains plaisir. Aussi rapidement que cette sensation arriva, elle disparue, et la sorcière ouvrit les yeux d’un geste brusque, espérant en trouver la cause. Personne ne se trouvait devant elle, ni derrière, elle était seule dans cette forêt. Alors qu’avait-elle vraiment ressentie ?