Le parc de la ville plongeait littéralement dans une immense brume qui ne permettait pas d’admirer la beauté du terrain. Cristallin avançait à petit pas sur une allée de béton qu’il distinguait avec difficulté. La brise froide effleurait son doux visage tendis que les parties de son corps à l’air libre viraient vers une couleur bleutée.
D’un geste las, il sortit un paquet de mégot pour en tirer une qu’il déposa sur ses lèvres abîmées. Il s’était pourtant promis d’arrêter le plus brièvement possible cette cochonnerie, mais ce fut bien trop difficile, surtout dans un grand moment de solitude qu’il éprouvait ces derniers temps. Ce temps froid, glacial, Cris l’appréciait énormément. Le froid, faisait partit de sa vie depuis de nombreuses années, maintenant.
Au bout d’un long moment de marche vers un endroit qui paraissait inaccessible, Cris s’arrêta sur un banc gelé. Autour de lui, il n’entendait que le bruissement des arbres et des petits feuillages ainsi que le pas de quelques passants qui ne se trouvaient pas dans son champ de vision.
Ses paupières aussi lourdes qu’une brique de pierre se fermèrent doucement, ses mains se posèrent délicatement sur son long manteau noir, sa bouche et son nez s’enfoncèrent légèrement dans son écharpe d’un noir profond.
Cette nuit, son sommeille avait été de courte durée suite à sa côte fêlée…
…« - Je ne m’attendais pas à te revoir de si tôt !>>
Les yeux d’un noir perçant, les mains tremblantes, Cristallin en avala sa salive de travers en apercevant l’homme qui se tenait raide comme un piquet devant lui.
<<- Je n’allais tout de même pas me priver d’une petite visite de ta part.
- Je suis content de voir que ma rencontre te fait tant plaisir, mon ami !
- J’aurais pensé que tu aurais quitter ces lieux depuis bien longtemps. Tu n’as donc pas peur de ce que je prévois pour toi ? » Dit-il d’un ton sarcastique.
Le regard de son adversaire en disait long sur sa personnalité. Il n’avait de cœur pour personne, il se disait supérieur, doté d’une intelligence remarquable et d’un sens des affaires prodigieux. Ce jeune homme âgé de quelques années de plus que lui, était au tout début de sa jeunesse son meilleur ami. Il fut donc bien surpris en apprenant lors de son affaire, que le chef d’une bande accusée de meurtre n’était autre que son allié.
« - J’ai essayé de te voir à la fin de ma petite garde à vue, mais hélas, tu étais bien trop pris par… je ne sais qu’elle affaire…. », Dit-il en levant le bras au ciel.
Cristallin pris la dernière bouffée de sa clope avant de la jeter sur le manteau gris de son ennemi.
« - Tu as eu de la chance, une chance fabuleuse. Le jour ou j’arriverais à te prendre en flagrants délits, je serais le premier à te mettre mon poing dans ta face de rat !.
- Oh oh ! voilà que Monsieur est mauvais joueur. Même petit tu détestais perdre, un mauvais perdant que tu es !.
- Je n’ai peut-être pas encore de preuve, mais je prouverais le meurtre de Natacha !
- Arrête un peu ! tu le sais tout comme moi, elle ne ressentait rien pour ta minable personne. »
Cet homme dangereux avait réussit à échapper à la police, mais aussi à tous ces ennemis. Cristallin l’avait vu un jour abuser de ces fameux dons sur une personne sans défense. Il savait et pouvait parier sa main à couper, que son rival avait lui même mis fin à la vie de sa petite amie. Pourquoi ? par jalousie ? …
Du sang sur son nez, le bras cassé, le visage éraflé, le combat avait été d’une telle violence que les deux hommes avait du cesser de se battrent un court moment avant de reprendre…
…..Ses yeux s’ouvrit hâtivement tendis que sa tête se releva, dévisageant les horizons en espérant apercevoir la moindre silhouette.
« Qui est là ? », lança le jeune policier d’une voix glaciale.
D’un geste las, il sortit un paquet de mégot pour en tirer une qu’il déposa sur ses lèvres abîmées. Il s’était pourtant promis d’arrêter le plus brièvement possible cette cochonnerie, mais ce fut bien trop difficile, surtout dans un grand moment de solitude qu’il éprouvait ces derniers temps. Ce temps froid, glacial, Cris l’appréciait énormément. Le froid, faisait partit de sa vie depuis de nombreuses années, maintenant.
Au bout d’un long moment de marche vers un endroit qui paraissait inaccessible, Cris s’arrêta sur un banc gelé. Autour de lui, il n’entendait que le bruissement des arbres et des petits feuillages ainsi que le pas de quelques passants qui ne se trouvaient pas dans son champ de vision.
Ses paupières aussi lourdes qu’une brique de pierre se fermèrent doucement, ses mains se posèrent délicatement sur son long manteau noir, sa bouche et son nez s’enfoncèrent légèrement dans son écharpe d’un noir profond.
Cette nuit, son sommeille avait été de courte durée suite à sa côte fêlée…
…« - Je ne m’attendais pas à te revoir de si tôt !>>
Les yeux d’un noir perçant, les mains tremblantes, Cristallin en avala sa salive de travers en apercevant l’homme qui se tenait raide comme un piquet devant lui.
<<- Je n’allais tout de même pas me priver d’une petite visite de ta part.
- Je suis content de voir que ma rencontre te fait tant plaisir, mon ami !
- J’aurais pensé que tu aurais quitter ces lieux depuis bien longtemps. Tu n’as donc pas peur de ce que je prévois pour toi ? » Dit-il d’un ton sarcastique.
Le regard de son adversaire en disait long sur sa personnalité. Il n’avait de cœur pour personne, il se disait supérieur, doté d’une intelligence remarquable et d’un sens des affaires prodigieux. Ce jeune homme âgé de quelques années de plus que lui, était au tout début de sa jeunesse son meilleur ami. Il fut donc bien surpris en apprenant lors de son affaire, que le chef d’une bande accusée de meurtre n’était autre que son allié.
« - J’ai essayé de te voir à la fin de ma petite garde à vue, mais hélas, tu étais bien trop pris par… je ne sais qu’elle affaire…. », Dit-il en levant le bras au ciel.
Cristallin pris la dernière bouffée de sa clope avant de la jeter sur le manteau gris de son ennemi.
« - Tu as eu de la chance, une chance fabuleuse. Le jour ou j’arriverais à te prendre en flagrants délits, je serais le premier à te mettre mon poing dans ta face de rat !.
- Oh oh ! voilà que Monsieur est mauvais joueur. Même petit tu détestais perdre, un mauvais perdant que tu es !.
- Je n’ai peut-être pas encore de preuve, mais je prouverais le meurtre de Natacha !
- Arrête un peu ! tu le sais tout comme moi, elle ne ressentait rien pour ta minable personne. »
Cet homme dangereux avait réussit à échapper à la police, mais aussi à tous ces ennemis. Cristallin l’avait vu un jour abuser de ces fameux dons sur une personne sans défense. Il savait et pouvait parier sa main à couper, que son rival avait lui même mis fin à la vie de sa petite amie. Pourquoi ? par jalousie ? …
Du sang sur son nez, le bras cassé, le visage éraflé, le combat avait été d’une telle violence que les deux hommes avait du cesser de se battrent un court moment avant de reprendre…
…..Ses yeux s’ouvrit hâtivement tendis que sa tête se releva, dévisageant les horizons en espérant apercevoir la moindre silhouette.
« Qui est là ? », lança le jeune policier d’une voix glaciale.