Une journée de plus à voir que rien n'était protégé dans ce bas monde, strictement rien et surtout pas elle sur le plan juridique. Un pur bonheur: voilà qu'elle était assignée à comparaitre pour avoir diffamé un membre de la police sans le savoir. Si elle devait connaitre le métier des maris battant leurs femmes ou encore les trompant à tour de bras, elle n'aurait plus réellement le temps d'écrire un seul article et encore moins de gagner sa vie! C'était un comble! Résultat, elle se retrouvait à devoir trouver un avocat sans avoir encore un "procureur" de son côté comme par le passé. Rien de tel pour la mettre hors d'elle: on en vient à combattre je ne sais combien de démons et sorciers et voilà qu'on se retrouve seule face à un flic en colère qui va vous demander des comptes pour le fait que sa femme divorce, vraiment impensable...
Et qu'avait-elle donc a faire pour pallier à ce genre d'idiotie? Rien, une collègue avait eu la gentillesse de lui conseiller un avocat, de toute évidence celui-ci était plutôt doué et saurait à merveille la défendre, mais de là à lui faire confiance, elle avait comme un léger doute. En tout cas, elle avait la carte de ce dernier et s'apprêtait à rejoindre son cabinet. Une bien belle façade, de quoi prouver richesse et tout ce qui s'en suit certainement, enfin aucune importance. Une fois à l'entrée, voilà qu'elle se mit à chercher un moment son nom... et quelle idée d'avoir mit un tailleur trop neuf et des talons aiguilles, il la serrait terriblement... bref, elle venait de le trouver son nom et prit donc l'initiative de sonner.
-Bureau de Maitre Striker, qui le demande?
Une voix féminine, certainement une secrétaire, mais c'était plutôt habituel dans ce genre de cabinet, les femmes restaient en tant que gentilles secrétaires et les hommes jouaient les durs en étant simplement avocats et en se faisant appeler Maitre. Elle se faisait déjà une idée machiste de cet homme de toute évidence.
-Phoebe Halliwell, j'aimerai voir Monsieur Striker, c'est pour une affaire plutôt urgente.
De toute évidence, elle avait fait mouche: la secrétaire lui ouvrit la porte en stipulant l'étage à rejoindre. Encore du temps, elle commenca donc à remonter chaque escalier en faisant claquer soigneusement ses talons avant d'arriver près de la fameuse secrétaire qui lui offrit à peine un coup d'oeil pour lui montrer du droit la porte du bureau de l'avocat. Se recoiffant rapidement, elle réajusta son tailleur avant de toquer à cette fameuse porte pour mieux l'ouvrir et prendre place dans ce bureau, face à l'avocat.
-Monsieur Striker, Phoebe Halliwell, je pense qu'une de mes collègues vous a parlé de mon affaire...
Et qu'avait-elle donc a faire pour pallier à ce genre d'idiotie? Rien, une collègue avait eu la gentillesse de lui conseiller un avocat, de toute évidence celui-ci était plutôt doué et saurait à merveille la défendre, mais de là à lui faire confiance, elle avait comme un léger doute. En tout cas, elle avait la carte de ce dernier et s'apprêtait à rejoindre son cabinet. Une bien belle façade, de quoi prouver richesse et tout ce qui s'en suit certainement, enfin aucune importance. Une fois à l'entrée, voilà qu'elle se mit à chercher un moment son nom... et quelle idée d'avoir mit un tailleur trop neuf et des talons aiguilles, il la serrait terriblement... bref, elle venait de le trouver son nom et prit donc l'initiative de sonner.
-Bureau de Maitre Striker, qui le demande?
Une voix féminine, certainement une secrétaire, mais c'était plutôt habituel dans ce genre de cabinet, les femmes restaient en tant que gentilles secrétaires et les hommes jouaient les durs en étant simplement avocats et en se faisant appeler Maitre. Elle se faisait déjà une idée machiste de cet homme de toute évidence.
-Phoebe Halliwell, j'aimerai voir Monsieur Striker, c'est pour une affaire plutôt urgente.
De toute évidence, elle avait fait mouche: la secrétaire lui ouvrit la porte en stipulant l'étage à rejoindre. Encore du temps, elle commenca donc à remonter chaque escalier en faisant claquer soigneusement ses talons avant d'arriver près de la fameuse secrétaire qui lui offrit à peine un coup d'oeil pour lui montrer du droit la porte du bureau de l'avocat. Se recoiffant rapidement, elle réajusta son tailleur avant de toquer à cette fameuse porte pour mieux l'ouvrir et prendre place dans ce bureau, face à l'avocat.
-Monsieur Striker, Phoebe Halliwell, je pense qu'une de mes collègues vous a parlé de mon affaire...