Il faisait nuit. Liz regarda depuis la fenêtre de l’hôtel ou elle vivait depuis quelque temps. De minuscules points lumineux apparurent, comme s’ils étaient là seulement pour elle. Elle souria. Liz baissa ses yeux, regardant la rue. Plus personne. Elle détourna ses yeux, puis se mit à observer sa chambre. Celle-ci eu l’insoutenable impression d’être enfermée ici. Elle voulait du changement dans sa vie, mais pour une fois, positivement s’il vous plait ! Malgré la fraîcheur de la nuit, cette dernière semblait étouffer en elle. Etouffer dans ce trou. Plus vite elle trouverait un appartement, mieux sa vaudrait. Son regard se posa sur son lit, un lit blanc. Elle n’en pouvait plus de rester dans une pièce avec 4 murs toujours aussi blanc aux contours bien lisse, net, propre. Meublé seulement d’une table bien propre aux contours nets, une chaise pas moins sale et d’un pot de fleur que le propriétaire de l’hôtel croyait joli. Décidément, celui-ci avait fait une faute de goût. Ce pot contenait une unique fleur de couleur rose, comme s’il espérait pouvoir faire croire à ses clients que le bonheur pouvait apparaître seulement avec… cette fleur d’une variété inconnue dont la réputation fait dire aux spécialistes botaniste que l’odeur que dégageait cette fleur était l’un des parfums les plus bons, exquis qu’ils ne purent jamais sentir. Personnellement, Liz ne sentait rien du tout. -_- donc… Elle n’avait rien à faire, et Liz s’était interdit de sortir après minuit, ne voulant pas être encore victime d’un fou, d’un démon, d’un sorcier ou alors d’un être de lumière…
En réalité, malgré l’heure tardive elle descendit rapidement les escaliers. Elle respira. Enfin. Naturellement, elle était sortie de l’hôtel armé de mauvaise intentions. Mauvaise sorcière un jour, mauvaise sorcière toujours ! Se dit-elle en guise d’excuse. Elle ne savait pas à quel point elle pouvait se tromper à ce moment… Non que Liz soit forcée d’accomplir ce genre de tache, au contraire, elle était libre de choix. Personne ne la commandait. Toute personne saine d’esprit aurait profitée de changer de vie, de s’offrir dix années de repos et détente aux caraïbes, au lieu de se salir les mains à guetter une proie, un innocent, à manquer quelques heures de sommeille. Mais la vie ne se laisse pas faire aussi facilement. Elle refuse d’aller se blottir bien sagement dans un coin. Ses habitudes accumulées aux cours de plusieurs mois ne pouvaient s’effacer ainsi. Apres avoir passé neuf mois en Angleterre, cette ex étudiante regrettait le bon vieux temps. Bientôt, l’employée du 415 magasine commença à effectuer quelques promenades nocturnes… qui se terminait souvent en bataille, malgré ses résolutions. Son morale monta en flèche, comme lorsqu’un drogué voit dans sa main de l’héroïne ou autre substance du même acabit à absorber, un drogué qui s’en était abstenu depuis trop longtemps. Elle avait-elle aussi patientée trop longtemps. 9 mois ! Ses vilaines habitudes refirent apparition. Avec un peu de chance, Liz trouverait ce soir un passant à tuer. N’importe quoi. Au tout début, Liz s’était contentée d’apercevoir des innocents, bien cachée derrière les voitures. Elle se contentait d’imaginer la surprise, la terreur, l’effrois se dessinant sur les visages. Puis elle effraya quelques passants. Ses promenades nocturnes n’étaient plus aussi espacées qu’avant. Mais bientôt, Liz Sullivan éprouva le besoin irrépressible de retrouver ses mauvaises occupations. Même si cette dernière éprouvait un sentiment de culpabilité. Oui, celle-ci culpabilisait ! Mais peut être pas encore assez pour arrêter ses crimes.
En ce moment, Liz marchait d’un pas rapide, impatiente de trouver quelqu’un à combattre. Elle se trouvait dans une rue sordide, infesté de rats. Bientôt, son vœux se réalisa. Elle aperçut une silhouette se dessiner au loin. Cette dernière lui tournait le dos. Elle ne put voir son visage.
« Eh ! » Dit-elle pour que cette femme se retourne. Rien ne sert de tuer une victime sans voir la frayeur qui se dessinait sur son visage.
En réalité, malgré l’heure tardive elle descendit rapidement les escaliers. Elle respira. Enfin. Naturellement, elle était sortie de l’hôtel armé de mauvaise intentions. Mauvaise sorcière un jour, mauvaise sorcière toujours ! Se dit-elle en guise d’excuse. Elle ne savait pas à quel point elle pouvait se tromper à ce moment… Non que Liz soit forcée d’accomplir ce genre de tache, au contraire, elle était libre de choix. Personne ne la commandait. Toute personne saine d’esprit aurait profitée de changer de vie, de s’offrir dix années de repos et détente aux caraïbes, au lieu de se salir les mains à guetter une proie, un innocent, à manquer quelques heures de sommeille. Mais la vie ne se laisse pas faire aussi facilement. Elle refuse d’aller se blottir bien sagement dans un coin. Ses habitudes accumulées aux cours de plusieurs mois ne pouvaient s’effacer ainsi. Apres avoir passé neuf mois en Angleterre, cette ex étudiante regrettait le bon vieux temps. Bientôt, l’employée du 415 magasine commença à effectuer quelques promenades nocturnes… qui se terminait souvent en bataille, malgré ses résolutions. Son morale monta en flèche, comme lorsqu’un drogué voit dans sa main de l’héroïne ou autre substance du même acabit à absorber, un drogué qui s’en était abstenu depuis trop longtemps. Elle avait-elle aussi patientée trop longtemps. 9 mois ! Ses vilaines habitudes refirent apparition. Avec un peu de chance, Liz trouverait ce soir un passant à tuer. N’importe quoi. Au tout début, Liz s’était contentée d’apercevoir des innocents, bien cachée derrière les voitures. Elle se contentait d’imaginer la surprise, la terreur, l’effrois se dessinant sur les visages. Puis elle effraya quelques passants. Ses promenades nocturnes n’étaient plus aussi espacées qu’avant. Mais bientôt, Liz Sullivan éprouva le besoin irrépressible de retrouver ses mauvaises occupations. Même si cette dernière éprouvait un sentiment de culpabilité. Oui, celle-ci culpabilisait ! Mais peut être pas encore assez pour arrêter ses crimes.
En ce moment, Liz marchait d’un pas rapide, impatiente de trouver quelqu’un à combattre. Elle se trouvait dans une rue sordide, infesté de rats. Bientôt, son vœux se réalisa. Elle aperçut une silhouette se dessiner au loin. Cette dernière lui tournait le dos. Elle ne put voir son visage.
« Eh ! » Dit-elle pour que cette femme se retourne. Rien ne sert de tuer une victime sans voir la frayeur qui se dessinait sur son visage.