Lorsqu'ils l'avaient envoyé sur terre, les fondateurs avaient pris le soin de fournir à Patience un petit papier sur lequel une adresse était écrite.
Ils lui avaient expliqué que ce serait là son nouveau domicile.
Patience avait donc passé la journée à faire des achats en tout genre afin de meubler et décorer cet espace qui serait le sien.
Elle arriva devant la porte du loft, des paquets plein les bras, suivit de près par des déménageurs qui allaient transporté les meubles aux endroits adéquats.
Patience enfonca tant bien que mal la clé dans la serrure, laissant choire au passage un sac remplis de fruits par terre.
"Zut"
Rattrapant une orange menacant de s'enfuire par l'escalier d'un côté et un melon déjà a moitié fendu à l'aide de son splendide escaprin blanc, sans talon car elle avait été habitué aux nuages et ne supportait donc pas les talons, qui fini avec une énorme tâhce jaunatre, elle continua de tenter un équilibre précaire entre ses paquets et ses clés.
Finalement elle réussit à ouvrire la porte, la poussa d'une épaule, lanchant un énorme soupir de soulagement. Mais le soulagement fut de courte durée, en effet là, au milieu de ce qu'elle pensait être son salon, se trouvait un homme.
"Qu'est-ce que vous faites là?"
lui demanda-t-elle totalemenbt abassourdie par cette découvert. Lachant au passage les derniers paquets qui encombraient ses bras sur la table
Ils lui avaient expliqué que ce serait là son nouveau domicile.
Patience avait donc passé la journée à faire des achats en tout genre afin de meubler et décorer cet espace qui serait le sien.
Elle arriva devant la porte du loft, des paquets plein les bras, suivit de près par des déménageurs qui allaient transporté les meubles aux endroits adéquats.
Patience enfonca tant bien que mal la clé dans la serrure, laissant choire au passage un sac remplis de fruits par terre.
"Zut"
Rattrapant une orange menacant de s'enfuire par l'escalier d'un côté et un melon déjà a moitié fendu à l'aide de son splendide escaprin blanc, sans talon car elle avait été habitué aux nuages et ne supportait donc pas les talons, qui fini avec une énorme tâhce jaunatre, elle continua de tenter un équilibre précaire entre ses paquets et ses clés.
Finalement elle réussit à ouvrire la porte, la poussa d'une épaule, lanchant un énorme soupir de soulagement. Mais le soulagement fut de courte durée, en effet là, au milieu de ce qu'elle pensait être son salon, se trouvait un homme.
"Qu'est-ce que vous faites là?"
lui demanda-t-elle totalemenbt abassourdie par cette découvert. Lachant au passage les derniers paquets qui encombraient ses bras sur la table