Ethan était en villes depuis quelques semaines maintenant, et il n'arrivait plus a tenir, le manque devenait trop grand. Il se balladait dans les rues, il savait où allait il avait déja pris des contacts. Comme quoi pour certaines choses toutes les rues se ressemblent.
Il avait vraiment fait des rencontres spéciales et il n'avait pas arrêtait de se croquer le cerveau, il cogitait sans cesse et en avait assez. Il avait un mal de tête horrible et son corps lui était lourd pesant et douloureux. Son genoux le relançait souvent, il n'en pouvait plus, il avait envie d'une pause, que tout s'arrête un moment et que tout soit calme.
Il venait de s'être battu, les habits et les cheveux en bataille, il saignait à l'arcade et à la lèvre, mais s'en fichait il avait dans son sac ce dont il avait besoin, il marchait dans les rues, suivant des indications que l'homme qu'il avait a terre lui avait donné. Il voulait un coin tranquille et où il trouverait le dernier élément dont il avait besoin pour faire ce qu'il avait à faire.
Il finit par y arriver, il ouvrit la porte de l'immeuble insalubre, à l'abandon et complètement délabré, et déja il fut saisi par une odeur épouvantable mais qu'il connaissait bien et qui lui ramena plein de souvenir.
Une odeur de renfermé, mélange de transpiration, de vomit, de sang, de tout un tas de choses qui donnait une odeur désagréable et ettoufante, c'est bien ça on éttouffait, l'atmosphère était lourde et chargée, on avait envie de s'échapper, courir le plus vite possible et se brûler les poumons avec de l'air fraîs.
Mais Ethan continua d'avancer, sûr de lui et déterminé, il en avait besoin il en avait envie, il pensait pouvoir s'arrêter mais non, il n'en pouvait plus, il en avait envie, il en avait besoin.
Suivant toujours les instructions de son nouveau contact, enfin si on pouvait appeler ça comme ça et il se dirigea vers un homme, complètement défoncé que tout le monde respecter et qui avait tout ce dont vous aviez besoin, Ethan se dirigea vers lui et lui murmura quelque chose à l'oreille, l'homme lui tendit un petit sachet blanc entouré de scoth, Ethan le prit, donna quelques billets au mec, puis Ethan retourna un peu en arrière, il commença alors à chercher une pièce où être tranquil et où il pourrait faire ce qu'il avait à faire.
Il détestait cet endroit, il étouffait, transpirait, et avait envie de partir, mais il ne pouvait plus tenir, il ne pouvait plus attendre, il devait le faire maintenant, il monta donc dans les étages, poussant des portes passant des corps allongés complètement perdu dans un autre état, dans un autre monde.
Il ouvrit une porte, passa la tête et vit une véritable orgie, des enchevêtrement de corps, la pièce était remplie de chaleur, de transpiration et de râle de plaisir, Ethan observa un moment ces corps qui s'ébattaient et se mélangeaient, puis referma la porte et continua son inspection, il finit par arriver dans un pièce vide, aucun toxicos, aucun défoncé, personne, pas un bruit, peu de lumière, les fenêtres étaient fermés, l'odeur était très forte, accentuée par l'étouffante chaleur, on avait du mal à respirer, mais au moins il n'y avait personne, c'est ce qu'il voulait.
Il préferait être seul, en plus il utilisait un mélange qu'il avait trouvé et qu'il voulait garder secret, il fit quelques pas dans la pièce, alla contre un mur, s'assit, posa son sac et l'ouvrit, il sorit différentes choses et commença à préparer ce dont il avait besoin, ce que son corps et son cerveau réclamaient, avec des gestes précis et maîtrisés, il avait fait cela de si nombreuses fois, il savait exactement quel dose mettre, combien de temps laissait mélanger, fondre et autre techinique et opération.
Bientôt sa seringue fut prête, tout juste sortit de son emballage aseptisé, elle était maintenant remplit d'un liquide encore chaud et à la couleur blanchatre, alors Ethan, prit une sorte d'élastique marron, l'attacha à son bras gauche, un peu au-dessus du coude et serra le plus fort possible, puis il enfonça lentement l'aiguille et déversa le liquide, toutes ses anciennes sensations, ses anciennes habitudes, tout était revenu.
Il sentit le liquide entrer en lui et se mélanger à son sang, et sourit, il ne sentait pas vraiment encore les effets mais anticipait.
Bientôt il les sentit, les effets de la drogue, de son mélange particulier affluaient par vague succéssives.
Son mélange provoquait différentes choses, il perdait toutes sensations dans son corps, son esprit se vidée, mais il restait quand même conscient, mais un état de conscience différent, capable de réfléchir et raisonner, mais également capable de ne pas le faire, il n'avait plus aucune image, plus aucun bruit, plus aucun son, plus aucune pensée dans son esprit, il n'avait plus mal à la tête, il se sentait bien, mais il n'avait pas d'hallucination, il se contentait de ressentir un bien être où tout allait bien dans son corps.
Ce qu'il appréciait surtout s'était de pouvoir vider son esprit sans avoir à faire d'effort de concentration, il se sentait léger et libre, bien.
Il souriait, s'appuya complètement contre le mur, inspira une grande goulée de cet air vicié, de cet air souillé et chargé, mais il pertait peu à peu de vraies contacts avec ses sens, il se sentait neutre, vide et ça lui procurait une auphorie et une joie immense.
Il était là, seul dans un obscurité et une atmosphère lourde et fermée, mais il était bien, il adorait se sentir vide.
Il avait vraiment fait des rencontres spéciales et il n'avait pas arrêtait de se croquer le cerveau, il cogitait sans cesse et en avait assez. Il avait un mal de tête horrible et son corps lui était lourd pesant et douloureux. Son genoux le relançait souvent, il n'en pouvait plus, il avait envie d'une pause, que tout s'arrête un moment et que tout soit calme.
Il venait de s'être battu, les habits et les cheveux en bataille, il saignait à l'arcade et à la lèvre, mais s'en fichait il avait dans son sac ce dont il avait besoin, il marchait dans les rues, suivant des indications que l'homme qu'il avait a terre lui avait donné. Il voulait un coin tranquille et où il trouverait le dernier élément dont il avait besoin pour faire ce qu'il avait à faire.
Il finit par y arriver, il ouvrit la porte de l'immeuble insalubre, à l'abandon et complètement délabré, et déja il fut saisi par une odeur épouvantable mais qu'il connaissait bien et qui lui ramena plein de souvenir.
Une odeur de renfermé, mélange de transpiration, de vomit, de sang, de tout un tas de choses qui donnait une odeur désagréable et ettoufante, c'est bien ça on éttouffait, l'atmosphère était lourde et chargée, on avait envie de s'échapper, courir le plus vite possible et se brûler les poumons avec de l'air fraîs.
Mais Ethan continua d'avancer, sûr de lui et déterminé, il en avait besoin il en avait envie, il pensait pouvoir s'arrêter mais non, il n'en pouvait plus, il en avait envie, il en avait besoin.
Suivant toujours les instructions de son nouveau contact, enfin si on pouvait appeler ça comme ça et il se dirigea vers un homme, complètement défoncé que tout le monde respecter et qui avait tout ce dont vous aviez besoin, Ethan se dirigea vers lui et lui murmura quelque chose à l'oreille, l'homme lui tendit un petit sachet blanc entouré de scoth, Ethan le prit, donna quelques billets au mec, puis Ethan retourna un peu en arrière, il commença alors à chercher une pièce où être tranquil et où il pourrait faire ce qu'il avait à faire.
Il détestait cet endroit, il étouffait, transpirait, et avait envie de partir, mais il ne pouvait plus tenir, il ne pouvait plus attendre, il devait le faire maintenant, il monta donc dans les étages, poussant des portes passant des corps allongés complètement perdu dans un autre état, dans un autre monde.
Il ouvrit une porte, passa la tête et vit une véritable orgie, des enchevêtrement de corps, la pièce était remplie de chaleur, de transpiration et de râle de plaisir, Ethan observa un moment ces corps qui s'ébattaient et se mélangeaient, puis referma la porte et continua son inspection, il finit par arriver dans un pièce vide, aucun toxicos, aucun défoncé, personne, pas un bruit, peu de lumière, les fenêtres étaient fermés, l'odeur était très forte, accentuée par l'étouffante chaleur, on avait du mal à respirer, mais au moins il n'y avait personne, c'est ce qu'il voulait.
Il préferait être seul, en plus il utilisait un mélange qu'il avait trouvé et qu'il voulait garder secret, il fit quelques pas dans la pièce, alla contre un mur, s'assit, posa son sac et l'ouvrit, il sorit différentes choses et commença à préparer ce dont il avait besoin, ce que son corps et son cerveau réclamaient, avec des gestes précis et maîtrisés, il avait fait cela de si nombreuses fois, il savait exactement quel dose mettre, combien de temps laissait mélanger, fondre et autre techinique et opération.
Bientôt sa seringue fut prête, tout juste sortit de son emballage aseptisé, elle était maintenant remplit d'un liquide encore chaud et à la couleur blanchatre, alors Ethan, prit une sorte d'élastique marron, l'attacha à son bras gauche, un peu au-dessus du coude et serra le plus fort possible, puis il enfonça lentement l'aiguille et déversa le liquide, toutes ses anciennes sensations, ses anciennes habitudes, tout était revenu.
Il sentit le liquide entrer en lui et se mélanger à son sang, et sourit, il ne sentait pas vraiment encore les effets mais anticipait.
Bientôt il les sentit, les effets de la drogue, de son mélange particulier affluaient par vague succéssives.
Son mélange provoquait différentes choses, il perdait toutes sensations dans son corps, son esprit se vidée, mais il restait quand même conscient, mais un état de conscience différent, capable de réfléchir et raisonner, mais également capable de ne pas le faire, il n'avait plus aucune image, plus aucun bruit, plus aucun son, plus aucune pensée dans son esprit, il n'avait plus mal à la tête, il se sentait bien, mais il n'avait pas d'hallucination, il se contentait de ressentir un bien être où tout allait bien dans son corps.
Ce qu'il appréciait surtout s'était de pouvoir vider son esprit sans avoir à faire d'effort de concentration, il se sentait léger et libre, bien.
Il souriait, s'appuya complètement contre le mur, inspira une grande goulée de cet air vicié, de cet air souillé et chargé, mais il pertait peu à peu de vraies contacts avec ses sens, il se sentait neutre, vide et ça lui procurait une auphorie et une joie immense.
Il était là, seul dans un obscurité et une atmosphère lourde et fermée, mais il était bien, il adorait se sentir vide.