Il était 10h du matin, et Sharona était, comme à son habitude, désoeuvrée et ennuyée par tout ce qui l'entourait. Elle ne savait pas quoi faire de sa journée ni de ses 10 doigts ... à vrai dire elle avait bien pensé à faire un tour au parc, mais elle s'était ravisée : elle le faisait tous les jours. A la longue, le parc, elle le connaissait par coeur. Elle n'avait pas réussi à trouver Sandy, sa soeur jumelle et ne pouvait en conséquence pas faire de shopping ni se balader dans la rue en reluquant les beaux mecs.
Donc, Sharona avait choisi le cimetièrre pour sa balade du matin. Etre en contact avec tous ces gens qui étaient nés, avait vécu, avait aimé, avait souffert, avait eu des enfants, et était mort, peut être parfois par sa faute, la calmait et l'appaisait. Ca paraissait bizarre de dire ça, mais dans le cimetierre, Sharona trouvait une tranquilité qu'on ne pouvait obtenir nulle part ailleurs.
Le vent chantait dans les feuilles des arbres, tout était calme, parfois Sharona croisait des vieilles dames qui venaient poser des fleurs sur la tombe de leur mari, de leur mère, de leur cousins. Elle s'assit sur la muraille qui n'était pas bien haute et contempla le vide.
Donc, Sharona avait choisi le cimetièrre pour sa balade du matin. Etre en contact avec tous ces gens qui étaient nés, avait vécu, avait aimé, avait souffert, avait eu des enfants, et était mort, peut être parfois par sa faute, la calmait et l'appaisait. Ca paraissait bizarre de dire ça, mais dans le cimetierre, Sharona trouvait une tranquilité qu'on ne pouvait obtenir nulle part ailleurs.
Le vent chantait dans les feuilles des arbres, tout était calme, parfois Sharona croisait des vieilles dames qui venaient poser des fleurs sur la tombe de leur mari, de leur mère, de leur cousins. Elle s'assit sur la muraille qui n'était pas bien haute et contempla le vide.