Ballade nocturne

Quand Fynlie vu le garçon approché elle un choc et eu comme premier réflexe de reculer mais étant face à un mur,elle était très mal placé. Elle aurait voulu partir.Pourtant elle s’était tout de même préparé à cette éventualité. Elle savait qu’elle rencontrerait quelqu’un dans ces rues,mais mais maintenant que c’était fait,elle se sentait désorienté. Pourtant elle était dans son habitat, c’est à dire l’obscurité. Elle était dans son élément! Elle se força à respirer pour se calmer. Elle ne comprenait pas sa propre réaction. Avant ce soir, elle avait déjà eu un combat et n’avait pas ainsi paniqué. Elle avait gardé la tête-froide, et avait même eu une conversation avec une jeune fille . Sauf que là on dirait qu’elle n’était pas capable de reprendre le contrôle d’elle-même .Ces mains bougeait dans un tremblement incessant et elle fût surprise d’entendre ces dents claquer à quelque reprise. Elle se sentait comme un animaux traqué,prise au piège.Pourtant cette personne ne lui avait encore rien fait,encore rien dit .

Elle aurait voulu disparaître,s’envoler,n’importe quoi! La respiration coupé, elle senti comme un point dans son ventre.Pourtant elle s’était nourri à sa faim. Elle voyait des petits picots noires qui dansaient devant ces yeux. Elle n’avait pas mal. Du moins pas physiquement mais elle avait l’impression que dans son esprits jouait la grande bataille. Comme-ci sa personnalité de vampire voulait soudainement reprendre toute la place. Voilà ce qui causai son grand désarroi. Dans ces yeux,une éclair de panique passa soudainement. Elle ne voulait pas voir son cœur se voiler de nouveau de noir,devenir aussi froid que la glace et aussi brûlant de haine que le soleil. Il n’était pas question que ça recommence. Elle ne comprenait plus rien. Comment cela pouvait-‘il être possible? Elle s’attendait à une rechute, elle se doutait bien qu’un jour où l’autre elle aurait envie de faire une croix sur son régime d’animaux mais elle n’aurait jamais cru que cela puisse se faire si brutalement. En faite,avant ce soir,elle en était venu à la conclusion qu’elle ne connaissait rien des vampires même si elle en était elle-même une. En quoi cela devait-‘il être une surprise? Les humains normal ignorent bien des choses sur leur personne. La différence par contre, c’est que la plupart d’entre eux ne le laisse pas paraître. Bien souvent il laisse leur propre personnalité disparaître pour être remplacé par une autre qui est souvent imposé par les autres.

Elle essayait de s’accrocher à ces bon souvenirs , qui lui était renvoyé en boucle comme un ultime appel au secours. C’était bizarre. C’était comme ci,elle subissait une deuxième transformation, mais de sa personnalité cette fois,celle qu’elle n’avait sans doute jamais subi. Elle essayait de penser à sa mère et à son père mais à chaque fois le souvenir douloureux d’un poupon, ce nouveau-né qui était dans leur bras lui revenait en tête suivi du corps de son amie, qui avait été sa première victime. Elle avait le garçon qui se rapprochait de plus en plus. À la distance qui les séparait,il ne pouvait sûrement pas voir encore la panique qui envahissait l’adulte. Ces mains tremblait de plus en plus et des gouttes perlait sur son front. Il ne devait pas avancer davantage car cette fois elle craignait de perdre le contrôle. Dans sa tête,résonnait une dernier cri,un cri primal de ceux qui vous donne la chair de poule, de ceux qui vous donnent des frissons dans le dos. Un de ces cris que vous ne poussez qu’au dernier moment,quand vous pensez que tout va s’achever, qu’il n’y a plus rien a espéré. Puis tout s’arrêta. Elle retrouva sa pleine lucidité.

Elle n’aurait su dire pourquoi :mais elle était certaine qu’une tel chose ne se produirait presque plus jamais. Du moins elle l’espérai9t. Essuyant les gouttelettes sur son front, elle soupira mais frissonna de plus belle en voyant l’inconnu approcher de plus en plus. Était-ce à cause de lui ce qui venait de se passer? Non.Elle se doutait bien qu’un jour cela allait arriver même si elle n’aurait jamais cru que ce serai si… si…si brutal. Elle ferma les yeux et respira un bon coup en évitant de penser à la personne qui de toute évidence avançait vers elle.

Étais-ce un humain? Si non de quel nature était-‘il? Es-ce qu’il y allait avoir un combat? Faite que non…elle se sentait soudainement tant fatigué…et puis elle n’était pas apte à se défendre. Inhabile elle savait que si elle avait réussi à survivre pour le moment, c’était simplement un coup de chance. Elle n’avait pas de talent,ni de don particulier. Elle était simplement bonne à être une victime. Un jeu.
*Bon sa va Fynlie…tu ne commencera pas à faire ta dépressive tout de même!*

Non…elle n’allait pas commencer. Mais avant ce soir, elle avait toujours été si optimiste si sûr d’elle…si confiante. Mourir ne lui fessait pas peur,pour elle ce n’était qu’une nouvelle entré dans un monde meilleur. Son plus grand souhait étant de mourir au combat,bravant la mort pour sauver sa peau. Elle ne craignait pas non plus de souffrir , car de toute façon si un jour le moment viendrait,elle ne pourrait rien y faire . Hors maintenant elle se rendait compte de la précarité de sa situation. Et elle se rendait compte que ces pensée et ces actions n’était pas une preuve de courage mais plutôt d’insouciance. Comme elle avait été naïve! Maintenant elle se rendait bien compte qu’elle allait devoir se frayer un chemin dans cette société, pour survivre le plus longtemps possible.
Qu’elle allait devoir apprendre à se défendre, à se battre. Mais surtout :elle allait devoir faire comme tout le monde.Se trouvé des alliés, des gens qui pourrait l’aider lorsqu’elle serait dans une situation plus périlleuse. Pas des amis.Des alliés. Ayant été vampire pendant toute son adolescence,elle avait vite fait d’oublier le sens de ce mot. Le seul souvenir qu’elle avait lié à cela, était que sa première victime en étant une. Et ça lui suffi amplement pour ne plus jamais en vouloir,de peur de commettre à nouveau l’irréparable.

Le jeune garçon était maintenant près d’elle et venait de lui poser une question. Sur ces gardes,et encore plongé dans ces pensée elle le regarda quelque seconde,le regard vide. Puis secouant la tête d’un signe négatif elle finit par dire d’un ton assez sec :

-Ni l’un ni l’autre.

Elle était encore effrayé par les raisonnements qu’elle venait de tirer et essayait de se démêler pour sortir une phrase assez cohérente . Lorsqu’elle voulu parler de nouveau ce fût un son rauque qui sorti de sa gorge mais elle reprit tout de même :

- Et vous…ballade nocturne peut-être?