Allan arriva dans le cimetière une fois de plus dans cette semaine. Par contre cette fois si il ne su pas pourquoi. C’était rare qu’il aille dans ces lieux amplis de mystère et d’attirance. Il entra à travers ce portail de fer forgé noir. Les ténèbres l’entouraient, il marchait calmement les mains dans les poches. Son long manteau noir descendant au niveau des mollets. Ces jours si il était complètement perdu. Il avait découvert qu’il avait un fils et il s’y était très mal prit avec lui. Il su quels erreurs il avait fait, il n’aurait jamais du raconter son histoire en entier. C’était le seul moyen qu’il avait de se faire haïr d’une personne qu’il voulait qu’elle l’aime. Il n’avait jamais demander sa, et quelque part il avait toujours rêver d’avoir une descendance. Il se mit a genoux devant la tombe de Leila, et déposa une rose rouge. Un ruban noir l’entourant.
« Leila, mon amour me pardonneras tu un jour ? Et penses tu que mon fils pourra me pardonner pour mon crime ? »
Il baissa la tête, il se sentait à la fois stupide de faire cela, pourtant il ne l’avait jamais fait auparavant mais cette fois si il en avait besoin. Elle était la seule personne avec qui il se sentait bien avant. Maintenant c’était Nicolas, mais il ne voulait pas l’ennuyer avec ce genre de problème, il était seul, vraiment tout seul. Il regardait ce nom gravé en lettre d’or sur cette tombe de granit noir. La lune apparut éclairant légèrement le cimetière, donnant a cette atmosphère fantomatique une petite étincelle.
« Tu sais, je me suis rendu compte que je me faisait manipuler mais que trop tard. Mais comment peut-il comprendre ? C’est comme si j’étais rentré dans les jeunesses hitlériennes, quand j’étais petit. Le lavage de cerveau dès le début dans des promesses erronées, je n’ai comprit cela qu’a la mort de celle que j’aimais, mais pourquoi ? Et je viens de perdre une personne avec qui j’aurais tant aimé avoir une relation. Une vraie, entre le père et le fils, malheureusement je ne contremaître jamais, Dracks m’a privé de beaucoup de choses, et même maintenant qu’il est mort, il me prive de mon propre fils. »
Il aurait aimé retourner en arrière et affronter Dracks dès le départ, mais il voyait le mal comme le bien et le bien comme le mal. Il se était toujours a genou devant cette tombe. Une larme coula le long de son visage. Le silence c’était abattu sur le cimetière vide. Ne laissant aucun bruit trôner, un rien pouvait faire sursauter n’importe qui. Finalement il aurait du rester dans le mal, depuis qu’il était dans le monde du bien, il ne faisait que souffrir alors que quand il était dans le côtes sombre, la souffrance ne l’atteignait jamais. Il pouvait faire ce qu’il voulait. Maintenant il avait des contraintes.
Il cru entendre des bruit de pas dans le cimetière c’était peut-être un effet de son imagination, depuis qu’il c’était tu son ouïe c’était développé.
« Leila, mon amour me pardonneras tu un jour ? Et penses tu que mon fils pourra me pardonner pour mon crime ? »
Il baissa la tête, il se sentait à la fois stupide de faire cela, pourtant il ne l’avait jamais fait auparavant mais cette fois si il en avait besoin. Elle était la seule personne avec qui il se sentait bien avant. Maintenant c’était Nicolas, mais il ne voulait pas l’ennuyer avec ce genre de problème, il était seul, vraiment tout seul. Il regardait ce nom gravé en lettre d’or sur cette tombe de granit noir. La lune apparut éclairant légèrement le cimetière, donnant a cette atmosphère fantomatique une petite étincelle.
« Tu sais, je me suis rendu compte que je me faisait manipuler mais que trop tard. Mais comment peut-il comprendre ? C’est comme si j’étais rentré dans les jeunesses hitlériennes, quand j’étais petit. Le lavage de cerveau dès le début dans des promesses erronées, je n’ai comprit cela qu’a la mort de celle que j’aimais, mais pourquoi ? Et je viens de perdre une personne avec qui j’aurais tant aimé avoir une relation. Une vraie, entre le père et le fils, malheureusement je ne contremaître jamais, Dracks m’a privé de beaucoup de choses, et même maintenant qu’il est mort, il me prive de mon propre fils. »
Il aurait aimé retourner en arrière et affronter Dracks dès le départ, mais il voyait le mal comme le bien et le bien comme le mal. Il se était toujours a genou devant cette tombe. Une larme coula le long de son visage. Le silence c’était abattu sur le cimetière vide. Ne laissant aucun bruit trôner, un rien pouvait faire sursauter n’importe qui. Finalement il aurait du rester dans le mal, depuis qu’il était dans le monde du bien, il ne faisait que souffrir alors que quand il était dans le côtes sombre, la souffrance ne l’atteignait jamais. Il pouvait faire ce qu’il voulait. Maintenant il avait des contraintes.
Il cru entendre des bruit de pas dans le cimetière c’était peut-être un effet de son imagination, depuis qu’il c’était tu son ouïe c’était développé.